La mondialisation : une maladie imaginaire

Stéphane Paquin, Presses de l'Université de Montréal.

Publié le 18 mars 2021

Depuis une trentaine d’années, on a tendance à amplifier, parfois grossièrement, la portée de la mondialisation et à en déformer la réalité. Selon plusieurs, l’accélération de la mondialisation conduit à l’avènement d’un monde « sans frontières », exacerbant la concurrence entre les nations.

Ces critiques face à la mondialisation sont-elles justifiées ? C’est en examinant les données sur la performance économique et sociale des pays sociaux-démocrates et libéraux, en décortiquant la situation de l’emploi et en expliquant les inégalités qui y sévissent que nous pouvons cerner la portée de la mondialisation dans nos vies. Les conclusions sont claires : l’État-providence est bien vivant et la social-démocratie est toujours le modèle économique et social le plus performant.

Pour acheter le livre

Stéphane Paquin

Professeur, École nationale d'administration publique
Directeur exécutif du GÉRIQ

Nouvelles récentes

Grande rencontre avec l’Ambassadeur de France, Jacques Audibert, à l’ENAP

Conférence: « Conseiller diplomatique d’un chef d’État du G7 : les règles de survie »

Lancement du numéro 7 du Climatoscope

Au Musée de la nature et des sciences de Sherbrooke

Conférence « Des barrières et des ponts : repenser le commerce au sein de la Fédération »

Une discussion sur l’avenir du commerce intérieur au Canada