La trop lente adaptation de Québec à l’urgence climatique
Publié le 19 juillet 2021
Agence Science-Presse – « L’effort est plus mis pour l’instant dans l’atténuation, mais il faut nous attaquer à l’autre côté de la médaille, celle de l’adaptation, trop souvent évacuée par les décideurs et qui n’est pas assez soutenue financièrement», soutient Annie Chaloux, professeure à l’École de politique appliquée de l’Université de Sherbrooke.
Annie Chaloux
Professeure agrégée, École de politique appliquée, Université de Sherbrooke
Co-directrice exécutive du GÉRIQ
Nouvelles récentes
Grande rencontre avec l’Ambassadeur de France, Jacques Audibert, à l’ENAP
Conférence: « Conseiller diplomatique d’un chef d’État du G7 : les règles de survie »
Lancement du numéro 7 du Climatoscope
Au Musée de la nature et des sciences de Sherbrooke
Conférence « Des barrières et des ponts : repenser le commerce au sein de la Fédération »
Une discussion sur l’avenir du commerce intérieur au Canada


