Philippe Simard
Chercheur pour le GÉRIQ et chargé de cours à l'École de politique appliquée de l'Université de Sherbrooke
Philippe Simard se spécialise dans les domaines de l’éco-politique internationale, de la transition énergétique, de la paradiplomatie climatique québécoise et de la coopération internationale.
Diplômé d’une maîtrise en études politiques appliquées de l’Université de Sherbrooke en 2019, Philippe travaille actuellement comme chercheur pour le Groupe d’études et de recherche sur l’international et le Québec (GÉRIQ), et comme professionnel de recherche et chargé de cours pour l’École de politique appliquée de l’Université de Sherbrooke.
Dernières publications
Analyse de la mise en œuvre des engagements climatiques internationaux du Canada: L’Engagement mondial sur le méthane
Annie Chaloux, Jennyfer Boudreau, Philippe Simard & Hugo Séguin, Note de recherche 11, Projet MeO-Climat.
Analyse de la mise en œuvre des engagements climatiques internationaux du Canada: Plafonner et réduire les émissions du secteur pétrolier et gazier
Annie Chaloux, Jennyfer Boudreau, Philippe Simard & Hugo Séguin, Note de recherche 10, Projet MeO-Climat.
Lorsque l’immobilisme ne tient plus : création d’un fonds pour les pertes et préjudices à la COP27
Annie Chaloux, Philippe Simard & Simon Beaudoin, Le Climatsocope, No 5.
Climate Paradiplomacy: A Comparative Study of Canadian Provinces (British Columbia, Ontario, and New Brunswick)
Annie Chaloux, Jennyfer Boudreau, Gabriel Grégoire-Mailhot & Philippe Simard, International Negotiation.
La 27e Conférence des Parties de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques : un bilan critique
Annie Chaloux, Philippe Simard & Simon Beaudoin, Cambridge University Press.
Évolution de la paradiplomatie environnementale de la Colombie-Britannique: étude d’une stratégie profondément régionale
Annie Chaloux, Jennyfer Boudreau, Gabriel Grégoire-Mailhot & Philippe Simard, Canadian Foreign Policy Journal.
Dans les médias
Climat : « les dissonances du Canada mises en exergue » à la COP27
S’il a milité pour que le seuil d’un réchauffement de 1,5 °C soit maintenu, le Canada s’est toutefois présenté à la COP27 sans avoir rehaussé sa cible de réduction des émissions de GES.